Assa Traoré, invitée par l’Education Nationale en 2019 à bourrer le crâne de lycéens de ses thèses racialistes

On l’a appris récemment, en 2019, l’activiste racialiste Assa Traoré, soeur aîné d’Adama Traoré est « intervenue » dans 3 lycées de Seine-Saint-Denis. Il s’agit des lycées Voillaume d’Aulnay-sous-Bois, du lycée Alfred Nobel de Clichy-sous-Bois en mai, et du lycée polyvalent Angela Davis à Saint-Denis en novembre pour présenter un livre, mais aussi et surtout pour donner sa propre « version » de l’Histoire de France. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il y a une erreur à chaque phrase!

« Quand l’esclave noir sortait dans la rue, on avait le droit de l’abattre. Adama Traoré sort dans la rue sans sa pièce d’identité, on l’abat. Un de nos frères sort dans la rue sans sa pièce d’identité, on peut l’abattre. Ce sont des restes coloniaux qui sont là depuis l’esclavage » (Assa Traoré, propos rapportés par Le Figaro)


Les officiels plus qu’embarrassés

Imagine-t-on des enfants de 15-17 ans prendre de telles balivernes haineuses comme vérité officielle? Toujours est-il, qu’alerté par des internautes, et devant le tollé médiatique, le rectorat de Créteil a dû faire un communiqué en catastrophe, assure que désormais, «ses propos polémiques ne lui permettent plus d’être reçue dans les établissements». Il est fait état de ses propos récents contre l’Etat. Mais le mal n’était-il pas déjà fait? En 2018, Assa Traoré incitait déjà à la haine: « Vous savez en Afrique,ils reversent le président,ils renversent le palais, ils rentrent dans le palais,ça se passe comme ça en Afrique. Pourquoi cela ne devrait pas se passer en France ? »

Derrière le business des Traoré, il y a aussi une offensive idéologique de premier ordre. Cela n’a pas suffit qu’on défasse l’histoire chronologique dans les établissements scolaires et qu’on efface progressivement des personnages essentiels du récit national? Un professeur d’histoire pointe un insupportable deux poids-deux mesures:

« Quand je pense que certains enseignants avaient par contre harcelé un rectorat pour empêcher une conférence de Lorant Deutsch… » (Twitter, 23/06/2020)


De fresque en frasques

Celle qui a fait d’un fresque honteuse inaugurée jeudi avec la maire PCF de Stains, Azzédine Taïbi, et assimilant George Floyd et son défunt frère à des « martyrs » (sic) sous le titre « contre le racisme et les violences policières« , le symbole d’un « combat contre » un syndicat policier (sic), les menaçant même alors qu’une décision du Préfet a déjà été prise pour faire modifier la fresque : « Si une lettre disparaît, on tiendra pour seuls responsables les syndicats de police Alliance« .

Et l’extrême gauche de renchérir :


Là, « l’émotion » est à son paroxysme!

C’est cette même Assa Traoré qui bénéficie d’un arrêt maladie de trois ans (jusqu’en août 2017) qu’a révélé Causeur et sur lequel son employeur, particulièrement gêné par les questions des journalistes, répond d’une manière qui en dit long:

«Oui, elle travaillait chez nous, mais nous avons reçu des directives du siège et nous ne devons pas en parler» (Opej de Sarcelles, cité par Causeur)

Depuis, elle serait restée salariée de l’Opej, sans solde assure-t-elle, jusqu’en décembre 2019. Mais tout le temps de son repos, Assa Traoré a multiplié meeting, prises de paroles et interventions dans les médias, ce que la Loi réprouve (mais encore fat-il qu’elle ne soit pas subordonnée par l’émotion), à l’article L323-6 du code de la sécurité sociale.

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