islam politique infiltre France

L’islam politique s’infiltre partout en France

Qu’ont tous ces évènements de l’actualité française, rapporté par l’historien Pierre Vermeren dans le Figaro Abonnés cette semaine, en commun?


Des phénomènes qui viennent de loin :

  • L’extension du voilement des jeunes filles, dans de plus en plus de villes de France, du Nord au Sud et d’Ouest en Est, et dans de nouveaux départements, comme la Bretagne.
  • La disparition massive des boucheries non-halal dans les villes moyennes et les petites villes, reléguées dans les hypercentres où se réfugient les bobos, les privilégiés et autres bien-pensants.
  • Le refus des cours de sport et des enseignements en général dans tant d’écoles publiques, notamment en Réseau d’Education Prioritaire renforcé (REP), car cette verticalité se heurte de plein fouet les principes coraniques. Ces mêmes REP où il manque des milliers de professeurs (notamment dans les Yvelines et le Val-de-Marne), à cause de la pression communautaire exercés sur eux.
  • Le développement des cours d’arabe en coordination avec un pays comme la Tunisie, qui deviennent souvent des cours d’islamisation sous couvert de culture arabophone.
  • Les activistes qui militent pour imposer le burkini dans les piscines publiques.
  • La destruction de croix et de plaques funéraires chrétiennes dans les cimetières en banlieue.
  • Les agressions antisémites là où les juifs n’ont pas déjà fui.
  • Dans la même veine, la profanation d’églises régulièrement, au nom de l’Islam.

Des phénomènes nouveaux :

  • Les maraudes de femmes intégralement voilées de tissu blanc, entourées de leurs « gardes du corps » à la barbe caractéristique qui viennent en aide aux sans domicile fixe contre une leçon de charia.
  • L’épidémie de djellaba dans les lycées de France qui s’est accentué cet été. Accentuation lors de laquelle le nouveau ministre de l’Education Pap Ndiaye a été alerté par une note qui recensait au trimestre dernier une hausse de 50% des atteintes à la laïcité.
  • La mise en valeur de Diam’s (ancienne rappeuse populaire chez certains jeunes dans les années 2000) qui professe à la télévision désormais que la musique est « haram » (NDLR: illicite pour les bons musulmans).
  • Les femmes voilées qui se filment en provoquant des commerçants ou des restaurateurs pour alimenter le concept d’islamophobie ou qui tournent sans but apparent autour des universités à Paris.
  • Les consignes des salafistes et des Frères musulmans lors des élections pour faire tomber la Seine-Saint-Denis dans les bras de la France Insoumise.
  • Les agressions des spectateurs espagnols et anglais au Stade de France lors de la finale de la Ligue des Champions par des mineurs non accompagnés et des racailles qui ont fait tellement peur au pouvoir qu’ils ont dû mentir pendant plusieurs jours sur la réalité de ces agressions.

Une accoutumance à la barbarie

Se poser la question c’est déjà trouver une clé pour y répondre. En se substituant à l’Etat dans des quartiers entiers (regroupés sous le nom-code de « territoires perdus de la République » décrits dès 2002 par Georges Bensoussan).

Et pour comprendre le degré de pénétration de l’islamisme en France, il faut tourner la tête au-delà de nos frontières. Car le djihadisme gagne du terrain partout dans le monde avec à la clé déscolarisation et endoctrinement.

Pour ce qui est de sa face politique, son aspect le plus fréquentable dira-t-on, elle se déroule au sein des instances européennes. Comme en témoigne les campagnes régulières qui banalisent le hidjab et l’argent versé par l’Union européenne aux associations communautaristes. On le voit à travers ces exemples glanés dans différents secteurs de la société française, la stratégie des têtes pensantes de l’islamisation des sociétés occidentales apparait clairement: banaliser les actes terroristes au rang de faits divers ou de la psychiatrie et offrir protection et instruction aux quartiers où l’argent de la drogue et des mosquées se rejoignent et où la notion de France hostile et de « sales français » est la plus implantée. Triste constat, n’est-ce pas?

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