Encore un drame. Encore une gifle à la France qui souffre, à celle qui obéit aux lois. Une famille fauchée en pleine rue à Grenoble. Une femme de 46 ans, ses deux fils jumeaux de 17 ans — dont l’un plongé dans un coma artificiel —, et une nièce de 23 ans, percutés par un chauffard de 19 ans. Résultat ? Le jeune conducteur a été… remis en liberté. Vous avez bien lu. Libre, pendant que des innocents se battent entre la vie et la mort. Jugement ? Reporté à juillet.

Une République qui protège les coupables ?

À chaque drame, les mêmes mots, les mêmes larmes, les mêmes bougies… et les mêmes lâchetés judiciaires. Ce jeune homme, qui aurait dû être enfermé sur-le-champ, se promène désormais librement, pendant qu’une mère lutte pour sauver son fils. Quelle est cette justice ? Quelle est cette société qui relâche les fauteurs de mort et oublie les victimes ?


La faiblesse comme ligne de conduite

On nous parle de « présomption d’innocence », de « respect des procédures ». Bla-bla-bla. Pendant ce temps, une famille est anéantie. Le sursis devient la règle. La prison l’exception. La justice s’agenouille devant la délinquance au lieu de la combattre.

Ce laxisme n’est pas une erreur. C’est une doctrine. Une idéologie molle, dictée par une élite coupée du réel, qui préfère pleurer sur le sort des criminels plutôt que de défendre les honnêtes gens.


La peur doit changer de camp

Il est temps que la peur change de camp. Que les chauffards, les délinquants, les voyous — qu’ils soient au volant ou au couteau — sachent qu’en France, quand on détruit une famille, on paie. Et cher.


Combien de temps ça va encore durer?

Chaque drame de ce genre nous rappelle une vérité terrible : les Français ne sont plus protégés. Ils sont seuls, abandonnés, trahis. Mais cela suffit. Il est temps de remettre l’ordre, la justice, l’autorité au cœur de la République.

Car une nation qui laisse mourir ses familles et relâche ses bourreaux n’est plus une nation.

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