Un jeune homme tué par balle à l’aube, en plein cœur de l’Essonne. Une salle des fêtes, une soirée privée, de l’alcool, de la drogue, un parking, un calibre 9mm. Les suspects ? En fuite. Le décor ? Toujours le même. Le déni ? Éternel.
Fleury-Mérogis, au sud de Paris. Une commune connue pour sa prison, désormais tristement célèbre pour ses fusillades en marge de soirées communautaires. Ce lundi 9 juin 2025, peu avant 6h du matin, un jeune homme d’une vingtaine d’années est abattu d’une balle en pleine poitrine, sur le parking d’une salle de réception récemment ouverte. Le tueur s’enfuit, visiblement sans se soucier de la justice française, et le parquet ouvre une enquête de plus. Une de plus.
Il y a tout juste un an, en mai 2024, une autre fusillade lors d’une soirée « rap » avait fait un mort et un blessé. Cette fois, même lieu, même ambiance, même chaos : 70 balises jaunes sur le bitume, mégots, sacs, gobelets — autant de traces d’une nuit qui vire au carnage. L’ensauvagement n’est plus une thèse, c’est un constat.
« Ces débordements surviennent lors de soirées antillaises »
Pendant que les médias généralistes s’étouffent dans leurs euphémismes, que les sociologues justifient l’indicible, les familles honnêtes vivent dans la peur. À Fleury, comme ailleurs, la République a déserté. Le maire, lui-même dépassé, confesse que ces débordements surviennent toujours « lors de soirées antillaises, avec de l’alcool et de la drogue très présents ». Mais chut, il ne faut pas dire cela trop fort. Ça pourrait fâcher.
Combien de morts faudra-t-il encore ? Combien de salles transformées en zones de non-droit ? Combien de jeunes sacrifiés sur l’autel du laxisme, de la lâcheté et du multiculturalisme idéologique ?





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