Il y a vingt ans, la France pleurait ses morts. L’été 2003, resté dans toutes les mémoires, avait emporté plus de 15 000 Français, souvent âgés, souvent isolés. Depuis, rien ou presque. Et voici qu’en 2025, Emmanuel Macron découvre soudain la canicule. Non pas pour protéger nos anciens ou renforcer notre système de santé, non, mais pour fermer des écoles.

Macron ou le règne de l’incohérence climatique et éducative

C’est dans un élan de « justice sociale », cette novlangue du nivellement par le bas que le président propose de réduire la durée des grandes vacances. L’argument ? Lutter contre les inégalités scolaires. Comme si priver tous les enfants de repos allait résoudre l’échec de l’Éducation nationale. Comme si l’absentéisme, la violence scolaire ou l’effondrement du niveau étaient une question de calendrier et non de volonté politique.

Mais pendant que l’Élysée occupe les familles avec cette diversion idéologique, les territoires, eux, subissent. En 2025, face à une nouvelle canicule majeure, l’État se montre incapable d’adapter les infrastructures scolaires. Résultat : 200 écoles fermées en urgence, laissant des milliers d’élèves sans solution. Pas à Bamako, pas à Karachi, non : en France. Le pays de Jules Ferry. Le pays de Pasteur. Le pays où il fait désormais trop chaud pour apprendre à lire.


L’État démissionnaire, la France au point de rupture

Il y a là une faillite totale. Une République incapable d’anticiper. Incapable de rénover ses bâtiments. Incapable de protéger ses enfants. Mais terriblement zélée quand il s’agit de rééduquer les parents, de culpabiliser les familles, ou d’imposer une vision étatisée de l’éducation. Le gouvernement n’a pas les moyens de climatiser les écoles ? Soit. Mais il a ceux de financer des « médiateurs de la transition écologique » et des « ateliers genrés dans les collèges ». Deux poids, deux mesures.

L’avenir de nos enfants mérite mieux que la climatisation de l’impuissance.

Une réponse à « Macron, fossoyeur des vacances et des écoles : l’État au chevet du climat, pas de nos enfants »

  1. Avatar de Joëlle Delporte
    Joëlle Delporte

    macron , le sale gosse qui fume et boit cul sec .

    Celui qui pense avoir les meilleures idées alors qu’il navigue au doigt mouillé

    sans s’occuper des répercussions de ses débiles décisions

    celui qui préfère les les autres et déteste les français purs sang

    un immature gamin qui aurait bien besoin d’un coup de pied dans le cul !!!!!

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