Dimanche, la gauche radicale chilienne a incendiés, dans l’indifférence médiatique la plus totale, deux églises de Santiago au Chili, l’église Saint-François-Borgia et l’église de l’Assomption, qui a été totalement détruite aux cris de « Qu’elle tombe ! Qu’elle tombe ! ».
Ces sinistres individus au visage dissimulés ont détruits leurs statues intérieures et accumulé des objets pour former des barricades. En plus de ses actions, des dizaines de militants d’extrême gauche ont pillés et incendiés des magasins et des commissariats. 222 policiers ont été blessés par les extrémistes. Le mouvement « social » contre le gouvernement fête de cette manière la première année de son existence, contre la vie chère.
“L’incendie et la destruction de la paroisse de La Asunción, ainsi que l’attaque de l’église de San Francisco de Borja, deux bâtiments classés au patrimoine de l’humanité, sont une source d’indignation et de tristesse”.
Consuelo Valdés, ministre chilienne de la culture, sur Twitter
Au moins cinq malfaiteurs ont été arrêtées en flagrant délit autour de ces lieux de culte.