Les personnes radicalisées ou fichés S ou ayant commis un certain type d’infraction doivent être interdits de travailler dans le domaine de la sécurité privée.
Eric Ciotti l’affirme, il est évident qu’on ne peut pas confier, à une personne soupçonnée de dangerosité, des informations capitales dans des missions qui visent à la sécurité de nos concitoyens.