L’affaire des réunions en non-mixité est une bombe à fragmentation qui pourrait faire éparpiller la gauche aux quatre coins de la France, façon puzzle pour paraphraser Michel Audiard.
Au gouvernement, faire les gros yeux plutôt que prononcer la dissolution
Tandis que la ministre de l’Enseignement Supérieur Frédérique Vidal considère au micro de l’Assemblée Nationale qu’elle a une « divergence politique » avec l’UNEF, à laquelle elle se contente de demander de «clarifier ses positions et ses valeurs» sans vouloir la dissoudre (tweet ci-dessous) et que d’autres au gouvernement refuse carrément de qualifier les réunions interdites aux blancs de « racistes », ce sujet est une nouvelle ligne de fracture à gauche.