Un conseil municipal sous très haute tension et finalement à huis clos. C’est ce qui s’est produit à Ivry-sur-Seine, cette semaine. Le maire communiste, Philippe Bouyssou, y mettait à l’ordre du jour une délibération qui visait à honorer les militants pour la défense de l’indépendance du Sahara occidental vis-à-vis du Maroc emprisonnés par le régime de Rabat.
Le Maroc avait envoyé sur place des agents de la Direction Générale des Études et de la Documentation (DGED), le service de contre-espionnage marocain, pour perturber l’organisation du conseil. Il ont été expulsés par la police manu militari.
Le maire communiste a déclaré:
«Des Marocains [qui] viennent perturber le conseil municipal d’Ivry afin de faire pression sur un vote visant à soutenir un projet solidaire à Tindouf (…) Ce type de pression sur un conseil municipal démocratiquement élu, a-t-il insisté, est totalement inacceptable.»
Philippe Bouyssou, maire d’Ivry-sur-Seine, 01/07/2021
quand on n’est pas content, on fout le camp en emmenant ses ouailles
je chez moi,
tu es chez toi
il est chez lui
nous sommes chez nous
vous êtes chez vous
ils sont chez eux
et tout le monde respecte l’autre sinon EXIT
Ils sont sans retenue.
Les arabes n’ont pas de savoir être, ils se servent sans demander et pensent pouvoir établir leur lois où ils sont. Cela fait parti de leur éducation et de leur enseignement religieux.
Il faut les renvoyer manu-militari.
Il faut aussi que la gendarmerie puisse dans ce type de dossier être présente car il s’agit de l’atteinte à notre République par des forces d’un pays étranger.