François Sureau, avocat et membre de l’Académie française, revient sur la polémique CSA-Zemmour qui illustre, selon lui, que le gouvernement puisse choisir ses opposants. Il ajoute au sujet de l’encadrement d’une manifestation:
« Mais dans quel État vit-on, où le gouvernement considère que son propre peuple est un adversaire de type militaire ? »
François Sureau
Ça n’est pas hélas avec la droite molle et irresponsable qui se présente pour la Présidentielle que cela changera et de plus nous sommes coincés avec l’Europe qui gère tout sauf la fiscalité. La France et sa justice aveugle font honte aux Français
Nous avons de petits »représentants » du Grand Peuple Français, qui élus avec à peine 40 % des voix des électeurs et sous la baguette d’un Président Mégalo, souhaitent diriger les français en dictant, tel de petits dictateurs d’operette, des lois les conservant artificiellement au pouvoir.
Nous voyons comment le Monde nous considére et tremble devant ce qu’ils ont fait de l’image de la France en regardant comment nous sommes fait rendre un contrat de sous-marins dans excuses ou indemnités.
Ce gouvernement ne sent pas honteux, moi, j’ai honte d’eux et ne les reconnaît pas français.
Bonjour,
Ceci est une infox.
François Sureau ne s’est pas exprimé sur le cas Zemmour.
Par ailleurs, je pense que cet avocat des droits de l’homme qui se bat aux côtés de demandeurs d’asile, serait effectivement contre la censure d’une opinion comme celle de Zemmour, afin de la combattre fermement et ouvertement devant tous.
Indépendamment des opinions politiques de chacun, il est vrai que la loi du 30 septembre 1986, par laquelle fut institué le CSA, est discutable à certains égards. Mais vous détournez les propos de l’intéressé. Son raisonnement juridique — concernant les manifestations — ne doit pas faire l’objet de confusions ou d’extrapolations hasardeuses. Il serait bon d’aller lire la loi précitée si vous souhaitez comprendre la sanction infligée à CNEWS.