la dure vie des militants de generation zemmour

Lycée, rue, famille: il ne fait pas bon vivre à Montpellier pour les militants de Génération Z !

Dans l’Hérault, à Montpellier, des jeunes s’engagent pour la première fois en politique. Ils se réunissent tous les soirs de plus en plus nombreux depuis le mois de mai 2021 sous l’étiquette Génération Z (GZ).

Dans cette ville de gauche, il est difficile d’annoncer son engagement politique lorsque son leader s’appelle Éric Zemmour. Valeurs Actuelles a rencontré une jeune étudiante GZ qui est devenue la paria de son université. Elle raconte qu’elle mange seule au restaurant, seule dans les cours et seule sur le chemin de l’école. Car dorénavant plus personne ne lui adresse la parole.


Intimidations tous azimuts

En plein collage, les militants GZ se font traiter de « fachos« , se font cracher dessus, et si par malheur c’est une jeune femme, l’incompréhension est totale. Une organisation « antifa » sévit nouvellement à Montpellier. Elle veut éradiquer l’extrême droite de Marine Le Pen et d’Eric Zemmour. Pour ce faire, tous les moyens sont bons : barres de fer, agressions physiques… D’ailleurs, ils opèrent à visage découvert. Peut-être sont-ils des infiltrés de GZ ?


Un conseil de classe pour avoir lu le livre de Zemmour au lycée

L’école, le lycée et l’université sont normalement des hauts lieux de la liberté d’expression et de pensé. Ça, c’est la théorie. En pratique, un jeune militant GZ de 16 ans lit tranquillement en permanence le livre d’Eric Zemmour «La France n’a pas dit son dernier mot». Il reçoit un immédiatement un avertissement et un mot à ses parents où il est indiqué que « les engagements politiques du jeune homme ne sont pas les bons et que lire ce genre de livre dans le lycée est de la provocation ». Il sera convoqué, avec ses parents, par la CPE et son professeur principal, en conseil de classe, et l’appel à un psychologue y sera même évoqué. Trophée supplémentaire de la lutte contre la bien-pensance, sur son livret scolaire, il est indiqué qu’il doit apprendre le sens des « nuances ».


La diabolisation est synonyme de violence

La famille aussi est le lieu des règlements de compte : « c’est normal de se faire agresser en soutenant Zemmour » pourra-t-on entendre au sein d’une famille socialiste.

L’idéologie politique amène ces jeunes à braver leur peur et à devenir des pestiférés. Heureusement, quelques sourires, quelques encouragements des Montpelliérains et des Montpelliéraines leur redonnent force et courage pour une bataille qui « n’a pas dit son dernier mot ».


PS: Merci à Jean-Bernard Colucci pour l’article.

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