Le bilan de l’insécurité sous Emmanuel Macron est catastrophique. Une des promesses du candidat Emmanuel Macron en 2022 est « l’exécution des peines prononcées ». Or, c’était déjà un de ses engagements en 2017, en plus de la construction de 15.000 places de prison: « Toute personne condamnée à une peine de prison ferme, promettait-il, devra être effectivement incarcérée ».
« Toute personne condamnée à une peine de prison ferme inférieure ou égale à 2 ans devra être effectivement incarcérée avant que ne soient envisagées des mesures d’aménagement de cette peine. Le principe de l’automaticité de l’examen de l’aménagement de peine sera donc supprimé ».
Programme d’Emmanuel Macron en 2017
L’insécurité, favorisée par la politique d’Emmanuel Macron
Comme nous le dit Laurent Obertone, plus de 70% des prévenus condamnés à une peine de prison n’y mettent jamais les pieds. En dehors de Gérald Darmanin pour faire des phrases, se rendre sur place et condamner avec fermeté, Emmanuel Macron a nommé Nicole Belloubet puis Eric Dupond-Moretti à la Justice, sans oublier de supprimer l’Observatoire de la délinquance, et on a vu le résultat.
La prison devient l’extrême exception
Que ce soit les détenus relâchés en masse (notamment lors du Covid), ou bien le festival des peines « alternatives »: Travail d’intérêt général (TIG), Stages divers et variés, bracelets électroniques. +43% pour les coups et blessures, +110% pour les violences sexuelles. Pire niveau historique des atteintes aux personnes… Un bilan à peu près aussi exécrable qu’en matière d’économie, de finances publiques, d’énergie, de commerce et d’immigration.