A Sciences Po Lyon, un séminaire de 4 jours du 2 au 6 mai 2022 consacré à la théorie du genre et à l’inclusion sociale intitulé «genre et inclusions sociales» sera imposé à tous les élèves de deuxième année à Lyon et Saint-Etienne.
C’est la première fois que la théorie du genre, dont la réalité scientifique n’est pas du tout avérée, au milieu d’autres concepts contre le fragilité blanche, la dictature du patriarcat ou la masculinité toxique s’impose dans une grande école de la sorte. Selon Le Figaro, ce sont des étudiants de Sciences Po qui ont demandé à ce que ce séminaire, qui regroupe des modules facultatifs, ne devienne obligatoire.
Les récalcitrants sont pourfendus
Et c’est très sérieux: cette matière bénéficie d’un coefficient 2, soit autant qu’une matière comme le droit administratif. Perversité supplémentaire, pour les travaux de groupe pendant la première moitié du séminaire, les élèves n’auront pas le droit de choisir leurs camarades pendant les 4 jours, comme c’est la coutume. Une manière supplémentaire de forcer les réfractaires ou même les critiques à rentrer dans le rang. Jules, un étudiant de gauche, a lui-même été exclu d’un groupe:
«Je leur ai dit que je voulais bien travailler sur le genre, mais que je ne défendrai pas des idées qui ne sont pas les miennes (…) Ils m’ont tout suite demandé de changer de groupe».
On le voit, derrière l’intersectionnalité, il y a une logique de refuser à son libre arbitre, comme cela se passe déjà sur les campus nord-américains.
La Droite au cœur 
La stupidité US est contagieuse, et nos universitaires français si peu de choses! Souhaitons que les élèves soient assez solides pour sortir en claquant la porte. Vivement le changement de PR.
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