jeudi 23 mars 2023 |

5 familles à Marseille quittent leurs logements à cause de squatteurs nigérians

Des nigérians sans papiers anglophones ont causé le départ d’une trentaine de locataires d’un bâtiment G d’une résidence privée du quartier du Val Cormes (15ème arrondissement de Marseille), mardi matin.

C’est la violence engendrée par ces squatteurs qui occupent la moitié de cette barre de 129 appartements qui a fini par les décider à faire physiquement leurs valises, pour 5 familles, comme le rapporte plusieurs articles de presse aujourd’hui, à la suite de RTL. La mairie a proposé gymnase du 15e arrondissement pour héberger temporairement les 30 locataires, mais ils ont refusé.


Machettes, barres de fer et armes à feu

Les trafics incessants des nigériens, que ce soit la prostitution ou le trafic de drogue, dure depuis des mois. Pire encore, leurs règlements de compte, à la machette, barre de fer et armes à feu, se déroulent dans partout, y compris dans les parties communes, au milieu des femmes, des enfants et des personnes âgées. Et quand les locataires ne répondent pas aux coups sur la porte, ils vont parfois beaucoup plus loin.

Ce week-end a été le sommet de toutes les tensions accumulées, nécessitant l’envoi de CRS du samedi soir jusqu’au mardi après-midi. Ainsi, Nella, une habitante explique au Figaro que des nigérians ont fait voler sa porte en éclat en pleine nuit pour y chercher refuge.

« La porte a été éclatée. Ils ne voulaient pas sortir. Pour eux c’était leur appartement, (…) Tout ce qui se passe, il n’y a rien, personne ne bouge »

Nessra, elle s’est fait voler ses affaires et les individus ont mis le feu à son logement (BFMTV).

Du côté de la préfecture, on précise que ce bâtiment a vocation à être détruit sans plus de précision. Le député LREM de la circonscription, Saïd Ahamada, fait son couplet sur le droit d’asile: « ceux qui bénéficient du droit d’asile doivent être hébergées de la bonne manière »… Oui, il en est encore là…

Ce n’est pas le seul grand ensemble où les habitants se sentent abandonnés des pouvoirs publics. Dans le Parc Corot, on déplore les mêmes effets d’une immigration hors de contrôle. Autrefois, en Algérie, c’était la valise ou la cercueil pour les pieds-noirs. Aujourd’hui, il semble que pour les honnêtes français qui paient leurs impôts et sont en règle, c’est la même chose. Etrangers dans leur propre pays.

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Thomas Yves
Thomas Yves
Responsable éditorial de la Droite au coeur depuis 2020. Intérêts: livres, politique, géopolitique, économie, déconstruction, séparatisme islamique.
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