L’Agence européenne des frontières (Frontex) a communiqué ce jeudi sur l’augmentation de 70% des entrées irrégulières sur le territoire européenne pour les premiers 9 mois de 2022.
Cela représente 228.240 personnes entrantes, majoritairement des hommes de confession musulmane, sans titre et sans justification. Ce sont des chiffres inédits en ampleur depuis 2016. Et ils n’intègrent pas les ukrainiens qui ont fuit la Guerre dans leur pays (certains sont rentrés chez eux entre-temps).
200 personnes chaque jour en Méditerranée
Le passage par la route des Balkans (de la Serbie vers la Hongrie) représente 106 396 entrées illégales (+170% sur la même période de 2021), principalement des afghans, des syriens, et des turcs, mais aussi des ressortissants du Maghreb. Du côté de la Mer Méditerrannée, en moyenne, il passe en Europe plus de 200 personnes chaque jour, en hausse de 5% par rapport à 2021. Ils ont été jusqu’à 1.000 en 24 heures en juillet 2022 en Italie.
Dans le détail l’augmentation du flux, entretenu par les bateaux des associations humanitaires, s’élève à 118% sur 9 mois pour la voie dite de la Méditerranée orientale (Grèce, Chypre et Bulgarie) et de 42% pour celle de Méditerranée centrale (Italie).(Source TF1)
Nous pouvons être divisés sur la conduite à tenir face à ces migrants. Nous pouvons les refouler, les empêcher de rentrer sur nos territoires européens mais alors nous serions dans le déni de la situation de danger pour certains. Nous pouvons leur ouvrir nos Etats mais nous serions éventuellement en danger face à cette masse sans travail, de religion différente et souvent belliqueuse face au christianisme, de coutumes parfois opposées par exemple sur le couple et la place de la femme ou encore, et il reste encore à dire, sur la perception de la politique ou nous avons tous une division état – religion.
Je pense qu’ils nous faut être vigilant à ce que ces acceuils ne soient pas des pierres d’achoppement qui conduiraient à leurs rejets.
C’est à eux de réfléchir à ne pas venir si il peuvent aider à leur pays et défendre ceux qui y sont restés. A eux de comprendre qu’ici il n’y a presque plus de place pour des misères supplémentaires qui ne seront pas réparées.
A nous de ne pas les encourager en ce sens.