Suite à la démission du conseil municipal, et au départ de la ville, en septembre 2022, d’un élu socialiste des Mureaux (Yvelines) qui a subi des menaces physiques de la part de certains administrés notamment à cause de son homosexualité, les caméras (cachées) de France 2 sont venus constater sur le terrain que la haine des homosexuels, qui ne peuvent se promener tranquillement dans certains quartiers islamisés, avait tout à voir le « pêché » que la religion dominante dans ce quartier y voit. Et il s’agit bien d’un phénomène de masse, et non de quelques individus isolés.
« Ma Loi religieuse est au-dessus de la République »
Car selon une enquête IFOP pour la Fondation Jasmin Roy et DILCRAH de juin 2019, 63% des musulmans hétérosexuels déclarent que l’homosexualité est une maladie ou une perversion sexuelle, contre 14% des catholiques et 10% des sans religion.
Dans le document de France Télévisions, on voit bien au travers des témoignages de jeunes notamment combien la religion musulmane fait passer les principes de tolérance et de République à l’arrière-plan.
« Les mots zombis » ou « cryptés » de la gauche
Un document édifiant malgré les euphémisations des journalistes du services publics et des associatifs interrogés qui parle de « la religion » au lieu de « l’Islam ».
Qui parle aussi de « tabou » au lieu « d’interdit ».
Et qui parle de « mal élevés » au lieu « d’élevés dans la religion ».
Car le recteur de la Grande mosquée de Paris Chems-Eddine Hafiz le rappelait encore en début d’année que l’homosexualité est interdite en Islam. Même s’il désapprouve la violence envers les homosexuels, les violences que l’on recense sont toujours le fruit des mêmes quartiers islamisés.
(Extrait du journal télévisé de France 2, 09/01/2023)
La loi contre l'homophobie : Rappelons qu'une insulte homophobe peut vous faire encourir 1 an d'emprisonnement et 45.000 € d'amende et qu'une agression homophobe en fonction du statut de la personne visée, peut valoir au moins 3 ans de prison.