La scène d’horreur absolue remonte au 10 août 2021 à Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise). Alors qu’il rentre chez lui vers 22 heures, un père de famille sri-lankais découvre, en rentrant dans son appartement, les corps sans vie de sa femme de 51 ans, Vijayari, égorgée et celui de sa fille de 21 ans, Dilaksana, lardé de 20 coups de couteau.
Dans la pièce d’à côté, le benjamin de la fille, 15 ans, plongé dans son sommeil, n’a rien entendu.
Une mise en liberté sans charge en 2021
Depuis, l’enquête sur ce double meurtre a progressé. La brigade criminelle de Versailles soupçonne un clandestin sri lankais de 27 ans qui logeait au sein de l’appartement d’avoir commis les faits, car l’alibi qui lui a permis de sortir libre sans charge de sa première garde à vue (un train pris avant les faits) a été démoli et ses traces ADN sont apparues sous les ongles de la mère de famille.
Le jeune homme était chargé par la famille de ramener de l’argent issu d’une tontine communautaire depuis la Gare du Nord. Quelques heures avant les faits mortels, il n’avait pas rapporté à ses hôtes une forte somme d’argent.
Arrêté à Rennes, l’homme nie toujours les faits.
Source: Le Parisien Abonnés.
Deux femmes qui l’hébergeaiENT.
Merci de votre vigilance, c’est corrigé.