Ce syrien venait d’obtenir le statut de réfugié politique en Belgique. Désormais, il sera jugé sur le fond devant la Cour d’appel de Liège en mars 2023 pour avoir violé et mis enceinte de jumeaux sa belle-fille de 9 ans.
Détail terrifiant, il a plaidé tout au long de la procédure judiciaire que la mère de la fillette était aussi responsable de cette situation, car « elle mettait des jupes » à sa fille. Il tente de minimiser l’horreur des faits en expliquant qu’il ne l’avait violé « qu’une seule fois », sous l’emprise de l’alcool.
Devant le tribunal, il déclare encore:
“Je confirme ce que j’ai dit devant le juge d’instruction (…) La petite m’a provoqué. Vous me dites qu’elle n’a que neuf ans. C’est sa manière de se tenir, dans sa tête elle est plus âgée que son âge. Elle me l’a demandé, je maintiens que l’enfant était demandeuse des relations sexuelles.”
Une situation acceptée en Syrie, selon l’avocate du prévenu
Comme le rappelle son avocate: “En Syrie, ce n’est pas grave d’entretenir une relation sexuelle avec une mineure”.
Le parquet général a requis une peine de dix ans de prison ferme pour punir le violeur d’enfant. À l’inverse, l’avocate de l’homme a réclamé le sursis probatoire maximum pour lui permettre de « s’insérer dans la société belge ».
Source : DHNet
Je pense surtout très anormal que des avocats puissent avoir le culot de demander de telles sanctions, quant aux mamans, elles feraient mieux de bien réfléchir avant de se mettre en couple.