À Ottawa, capitale du Canada, il y a 44,8% de citoyens qui parlent à la fois français et anglais (chiffres de 2011). C’est dans cette ville que se trouve le siège de l’administration qui vient de publier un « guide du bon usage » de l’écriture inclusive appliqué au français. Cela se fait au nom de « l’égalité dans la formulation des genres », ce qui aberrant, puisque la langue française est une norme et nullement un jugement de valeurs (NB: voir la position alarmiste de l’Académie française en 2017). Si l’écriture inclusive n’est pas encore imposée, elle s’installe durablement dans le paysage comme le suggère ce reportage de Radio-Canada.

Comment le Canada impose doucement l’écriture inclusive dans l’administration
1–2 minutes
Une réponse à « Comment le Canada impose doucement l’écriture inclusive dans l’administration »
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Zon vraiment rien de plus zimportant à foutre tous otan kil son. Mamie si chagrine et contente d’avoir vécu classique durant 83 ans. Bon courage à vous.
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