C’est un tournant majeur, l’Assemblée nationale a dit non aux ZFE. Ce mercredi 28 mai, les députés ont adopté à 98 voix contre 51 un article du projet de loi de «simplification» instaurant la fin des ZFE. Ils ont dit non à cette politique brutale qui voulait faire disparaître, en silence, des millions de Français de la carte de la mobilité.
Ce vote, ce sursaut de bon sens, porte un nom : Laurent Wauquiez.


Les ZFE : quand la France périphérique est sommée de disparaître

Les Zones à Faibles Émissions, ou plutôt Zones à Forte Exclusion, c’est la dernière invention d’une caste qui rêve d’une France sans voitures, sans provinces, sans ouvriers. Une idée folle, à l’origine, née sous François Hollande, et mise en oeuvre par les macronistes.
Une France réduite aux centres-villes branchés, à l’électrique subventionné, à la mobilité verte des cadres supérieurs. Mais pas un mot pour ceux qui vivent dans les vallées, sur les plateaux, à 30 kilomètres de tout. L’infirmière libérale de Corrèze ou l’artisan de Haute-Loire, eux, sont sommés de disparaître. C’est une une vraie ségrégation sociale déguisée!


Wauquiez : l’homme debout face aux lâchetés molles

Pendant que d’autres tergiversaient, Laurent Wauquiez a pris ses responsabilités. Il a dit non., non à l’écologie punitive, non à l’injustice territoriale.
Dans sa région Auvergne-Rhône-Alpes, il a soutenu les élus courageux qui ont refusé de piéger leurs habitants dans l’idéologie verte. Il a porté la voix des oubliés, celle de la France qui travaille, celle des racines, celle du bon sens.

Une majorité transpartisane s’est levée contre l’arrogance verte : LR, RN, UDI, LFI, et même des frondeurs de la majorité. Pour une fois, l’Assemblée n’a pas voté contre le peuple.
Ce vote a fait hurler les habituels moralistes : médias subventionnés, ONG militantes, sociologues … Ils parlent de « recul », de « capitulation ». Mais il ne s’agit pas de renoncer à l’écologie, il s’agit de sortir du délire idéologique.

Laurent Wauquiez n’a pas bradé l’environnement. Il a réaffirmé une écologie enracinée, qui respecte le rythme des territoires et les moyens des Français. Une écologie qui protège, pas qui exclut.


Pour une écologie française, populaire, raisonnable

Les français ne veulent pas d’une écologie de punition. Ils veulent une écologie de responsabilité, une écologie qui s’inscrit dans le paysage, pas dans les tableurs Excel.
Remplacer une voiture ? Oui, mais pas en jetant à la casse des Renault Clio qui roulent encore.
Respirer un air plus pur ? Bien sûr, mais pas en interdisant de vivre.

Laurent Wauquiez a compris que défendre l’automobiliste, c’est défendre la liberté.
La liberté de se lever, de se rendre au travail, de vivre là où l’on veut.
En disant non aux ZFE, il a dit oui à la France.

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