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A Bordeaux, les dealers lui coupent la main au nom de la Charia

Mardi 28 juillet 2020, l’ensauvagement a connu un nouvel épisode particulièrement insoutenable, et pourtant aucun grand média, n’en a fait état, à part Le Figaro, qui a eu accès à une liste de procès-verbaux de police et de gendarmerie sur la France entière pendant 72 heures.

En pleine journée à Bordeaux, dans le quartier de la gare, une expédition punitive sur fond de trafic de stupéfiants a mis aux prises deux caïds de drogue « originaires du Maghreb » et un petit dealer. Ce dernier a eue la main tranchée à la machette en forme de représailles.
Cette façon de faire, une main coupée pour un vol, est une application stricte de la « charia », qui a sa place aux côtés de la lapidation, et les flagellations, comme cela se pratique en Arabie Saoudite ou en Iran.

Jean-Jacques Rouchi, prêtre à Toulouse et chargé d’enseignement à la faculté de théologie et à l’Institut de Science et de la Théologie des Religions nous en dit plus:

« Il a fallu attendre, en particulier, les wahhabites (en Arabie saoudite) qui ont pris le pouvoir après la Première guerre mondiale pour que ces dispositions – qui sont effectivement dans les textes mais qui n’étaient pas si appliquées – soient instituées. » (Atlantico, 25/10/2011)

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