Les balles du 14 juillet: un pompier touché au mollet dans un guet-apens

Un nouveau stade de la violence a été franchi en France cette nuit. Désormais on tire sur des pompiers, censés protéger la population et devenus des cibles à part entière (Voir la démonstration d’Alain Bauer à ce sujet).

Quelques heures après que le Président Macron n’ait pas parlé une seule seconde des agressions quotidiennes contre les services de l’Etat, ce sont les sapeurs-pompiers qui ont, une nouvelle fois, été victimes d’une véritable guérilla urbaine que les médias nomment pudiquement une « incivilité ».

Selon RTL, objets d’un véritable guet-apens, les pompiers ont été visés par des tirs d’arme à feu vers 23 heures le 14 juillet à Etampes, quartier de Guinette, dans l’Essonne. A l’origine, il venaient éteindre l’incendie d’une voiture.
Un sergent-chef de 49 ans a été touché au mollet et transporté à l’Hôpital, et il est hors de danger.
Le SDIS ainsi que de nombreux hommes et femmes politiques, dont le nouveau ministre de l’Intérieur, se sont émus de cette agression.

Le 13 juillet, déjà à Etampes, cette fois dans le quartier de Croix-de-Vernailles, les policiers avaient été la cible de tirs de mortier de feux d’artifice, dont l’un était dirigé sur le visage de l’un d’eux, qui par bonheur, portait des lunettes de protection. L’auteur du tir sera présenté en comparution immédiate aujourd’hui (Le républicain de l’Essonne).

Dans l’affaire du 14 juillet, l’arme utilisée n’a pas encore été identifiée, mais il s’agirait d’un 22 long rifle. L’enquête sur l’origine du tir a été confiée à la sûreté départementale de l’Essonne.

Un commentaire

  1. Je me demande à quoi servent nos indignations NON SUIVIES de condamnations OFFICIELLES par les autorités qui restent le plus souvent silencieuses ou inefficaces ? Ou est la réponse ferme et EFFICACES -suivant les lois de la République ?

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