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Agir contre la non-mixité des syndicats islamo-gauchistes

Le débat sur les réunions non-mixtes (excluant les blancs, les hommes, ou les hétérosexuels, etc.) commencent à apparaitre aux yeux des français à la faveur d’affaires retentissantes comme celle des réunions organisées par des syndicats comme l’UNEF de Solidaires Étudiant-e-s ou SUD-éducation du 93 pour ne citer qu’elles.

A l’origine de ce trouble, l’aveu de la représentante de l’UNEF, qui confirmait qu’il y avait bien eu des réunions « non-mixtes » montées par son organisation (au moins depuis 2017, selon les recensements). Le syndicat, sentant le danger, a dû démentir qu’elle organise des « réunions interdites aux blancs », préférant parler de groupes de parole. La nuance est mince.


La seule couleur qui compte en France, c’est celle du drapeau

Ce mouvement, que le ministre de l’Education Nationale Jean-Michel Blanquer a qualifié de « pente fasciste », et qu’il condamnait – mais qui sort de son périmètre de compétence – est importé des Etats-Unis.

«Les gens qui se prétendent progressistes et distinguent les gens en fonction de leur couleur de leur peau, nous mènent vers des choses qui ressemblent au fascisme».

Jean-Michel Blanquer, BFMTV, 19/03/2021

On parle là des séminaires où la couleur de peau sert de sésame pour rentrer ou non, sur le modèle des Black Panthers, d’où les blancs étaient chassés comme des ennemis.


L’UNEF, une dérive adossée à l’Islam radical

A gauche, un ancien de l’UNEF entre 1980 et 1984, porte lui aussi un regard critique sur son ancienne organisation qu’il compare à la Chine maoïste. Il serait noyauté par des « micro-associations musulmanes » Pour lui, les socialistes authentiquement attachés à des luttes pour le progrès étudiants sont tous partis à la Fage, devenu premier mouvement étudiant de France. Et il minimise l’influence de ce syndicat, qui perd toutes les élections.

A droite, les parlementaires Bruno Retailleau et Eric Ciotti ont respectivement exigé des actions judiciaires pour «provocation à la haine raciale», et la dissolution de l’UNEF «devenu l’avant-garde de l’islamo-gauchisme». Le Sénateur de Vendée considérait sur France Inter qu’on « est en train d’américaniser la France, de racialiser les rapports sociaux ». Julien Aubert pointe de son côté une «discrimination raciale» caractérisée.

«L’UNEF est passée du mauvais côté de la barrière. Nous espérons qu’une condamnation du syndicat servira de base à sa dissolution. Pour dissoudre, il faut d’abord qu’il y ait une condamnation judiciaire. Si la justice reconnaît le délit pénal, il y a lieu de dissoudre ce syndicat».

Julien Aubert, à Sputnik News, 19/03/2021

Les femmes, vues comme des victimes perpétuelles

Aujourd’hui, dans nombre d’universités, on a construit ce que l’on appelle des « safe space » ou l’on exclue les gens en fonction de leur caractéristiques pigmentaires ou de préférence sexuelle pour pouvoir évoquer les discriminations dont on s’affuble soi-même.

Dans les courants néo-féministes, on présente les hommes comme des oppresseurs, qui doivent avoir un temps de parole moindre, comme le pratique Caroline de Haas au sein d’oser le féminisme, qui pourtant regroupe des hommes et des femmes.

L’insoumise Danièle Obono soutient les réunions non-mixtes. Et elle n’est pas seule. Ainsi, à Nancy, la conseillère municipale communiste déléguée à l’égalité femme-homme et à la lutte contre les violences faites aux femmes Lauranne Witt a manifesté son «soutien» à l’UNEF. Le ver est donc dans le fruit.

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