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Macron et l’Algérie, mais de qui se moque-t-on?

Ah, le bel escroc que voilà! Voici donc qu’Emmanuel Macron déclare, devant les familles concernées, que la fusillade de la rue d’Isly à Alger en mars 1962 au cours de laquelle des dizaines de sympathisants de l’Algérie française furent tués au milieu de la foule par l’armée française le 26 mars 1962, est « impardonnable pour la République » (La Dépêche). Il ordonne en conséquence d’ouvrir toutes les archives sur ces événements pour en connaitre la réalité historique.

Dans la foulée, le Président de la République évoque le « massacre d’Oran » du 5 juillet 1962, commis trois mois et demi avant la déclaration d’indépendance de l’Algérie. Celui-ci couta la vie à de nombreux européens, et doit être « regardé en face et reconnu », selon le Président. Le mot « Algérie » n’est pas prononcé par le Président.


Macron, l’histoire algérienne à géométrie variable

Mais, plus encore, nous n’oublierons pas que le même Macron a déclaré que la colonisation en Algérie était un crime contre l’humanité, et par voie de conséquence, les Pieds-Noirs, qui aujourd’hui se trouvent être des électeurs.

C’est le même Macron qui a fait fleurir, le 8 novembre 2020, par le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin, le monument aux morts du Front de Libération Nationale (FLN) à Alger. Parfois le « en même temps » a le goût de rance.

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