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Accusation de « Contrôle au faciès »: la police lâche Emmanuel Macron

En annonçant hier dans une interview à « Brut » le lancement, sous l’égide du défenseur des Droits et de la LICRA, d’une plateforme nationale de signalement des discriminations des officiers de police, et en accusant les policiers de contrôle au faciès des français sur la base de leur ethnie supposée ou leur couleur de peau, Emmanuel Macron, qui s’est désigné par un « Moi, président » acculé par l’émotion provoqué par l’affaire Michel Zecler, du nom de cette homme noir tabassé par des policiers, remet une pièce dans la machine de la haine de la Police.


Une grève en protestation

Les syndicats de policiers n’ont pas tardé à s’émouvoir de ces déclarations. Ainsi, le syndicat Alliance appelle à faire la grève des contrôles d’identité en signe de protestation contre ces faits du Prince qui viennent freiner le soutien de l’exécutif à ses hommes sur le terrain. Rappelons qu’en France le principal problème n’est pas le contrôle de police, c’est que la Justice ne finissent pas le travail de pacification entrepris par les forces de l’ordre.

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