Romans-sur-Isère: un attentat à bas bruit

La rue commerçante à Romans-sur-Isère

Une attaque terroriste qui a fait deux morts, un client d’une boucherie né en 1965 et un commerçant né en 1976, est presque passée inaperçue dans le flot de non-informations sur le coronavirus.

Pour justifier son geste, le refugié afghan – dont la maire de Romans-sur-Isère ne connaissait rien a parlé d’un « monde de mécréant », tandis que les médias préférait évoquer la théorie d’un individu « agité » qui avait « du mal à vivre le confinement ».

Le député Guillaume Arrivé (LR) prévient de son côté le 11 avril :

« Décidant de frapper au moment où nous serions déjà en situation de grande faiblesse, les ennemis de la France choisiraient alors d’aggraver la crise sécuritaire, dans un cocktail incendiaire additionnant hyper-délinquance (dégénérant en guérilla urbaine dans les territoires occupés par les bandes), destruction d’infrastructures vitales (cyber-attaque de nos systèmes de communication, pollution des réseaux d’eau potable, sabotage nucléaire…) et attentats islamistes, en sollicitant nos forces de sécurité intérieure jusqu’à l’attrition. » Source

Le regard d’Elisabeth Lévy (Sud Radio): pendant le confinement, le djihad continue

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